Vampire NissiaDeLaNoire
Clan:
Description du personnage
Depuis mon plus jeune age, du moins d'aussi loin que je m'en souvienne, on m'a toujours interdit l'accès de la foret brune, cette épaisse carrière où gîsent les ossements de plus de deux cents voisins du bourg. Il m'arrivait souvent de l'observer depuis la lucarne de la grange, sa sombre beauté m'intriguait, me remplissant d'un mélange de crainte et d'admiration, en dépit de sa réalité morbide. Toutes les semaines, un nouveau voisin disparaissait, sans laisser d'autre trace que celle de son sang, dont une immonde flaque abreuvait toujours le sol.
Mr Trandafir, un vieil homme aigris et seul qui habitait juste à la liziere de la fôret, racontait a qui voulait bien l'entendre qu'il avait depuis sa fenêtre assisté a la scène, qu'elle avait été des plus terrifiantes lorsque la pauvre victime s'était retrouvée face aux crocs de la bête, un immense loup garou de plus de deux mètres de hauteur. Monsieur Trandafir n'avait pu garder les yeux ouverts lorsque le monstre lui avait dévoré la mâchoire.
La police qualifiait les récits du vieil homme de "proportionnel à sa sénilité", mais si tout le monde le prenait pour fou, j'étais une des rares a percevoir une sincère lucidité au fond de son oeil émoustillé d'un plaisir pervers à l'écho de son témoignage.
Le village entier vivait dans la psychose de la peur du loup garou, particulièrement mes parents qui m'expliquèrent lorsque j'eus le courage de poser la question comment mon père s'était fait dévorer la jambe quelques années auparavant par l'un d'eux et comment la Sainte Vierge l'avait sauvé en empêchant la mort du brave homme qui aurait laissé derriere lui une femme epleurée et une fillette sans défense.
Plus tard ma mère sombra dans une folie passagère durant laquelle elle s'enfermait dans la chambre en hurlant qu'elle avait vu la mort, à la liziere du bois, un grand homme vêtu de noir au sourire cruel et aux canines asserées.
Elevée dans ce contexte là je ne pouvais pas être indifférente aux evênements de la Fôret Brune, même si le courage de m’en approcher ne m’avais jamais été donné, je m’y sentais irresistiblement attirée, comme si mon sort y était lié.
Et il faut croire que c’était le cas.
Un beau jour, alors que je nourrissais les poules, mon jeune chaton Basket franchit la barrière et disparu au détour du sentier.
Je courrais à sa poursuite lui criant de revenir, qu’une vie d’aventures n’était pas appropriée pour un petit chat aussi frêle et fragile, mais tel un affreux jeu du sort, il s’élançait droit vers la Fôret Brune, jusqu’à ce qu’il se faufile entre deux arbres, pénétrant en territoire interdit.
Stupéfaite, j’arrêtais ma course. Et le temps d’une minute d’hésitation, le vent se leva, lugubre, comme un signe avant courreur, porteur d’un avertissement…
Les arbres montaient si haut dans le ciel qu’ils ne laissaient passer aucune lumière, me plongeant dans l’obscurité totale à me frayer un chemin entre les banches.
Etrange forêt inquiètante où l’on entend pas l’écho de ses propres pas. Etrange forêt inquiètante où tout n’est que ténèbres et silence.
Au détour d’un arbre, un étrange tableau. Un puissant jet de lumiere vient éclairer un homme, dos à moi. De noir vêtu, à la silhouette imposante, il respire le mal et inspire la peur. De ses yeux bleus perçants, tel un fauve surnois, il me sourit sadiquement.
Je ne bouge pas lorsqu’il m’entoure, ne me débat pas lorsqu’il me prend, n’hurle pas lorsqu’il me plante ses canines dans le cou.
Aujourd’hui j’ai rencontré la mort.
Il me terrifie. Et me fascine.
Je ne serai pourtant pas sa proie d’un soir. Car le vampire Alvarioue a d’autres ambitions pour moi…
Une énorme morsure dans ma chair. Et c’est mon corps qui change. Les couleurs ne sont plus les mêmes, la luminosité devient plus intense, les bruits changent, et c’est commesi l’air me caressait la peau.
Faim, j’ai très faim. Une irrésistible envie de mordre le cou de l’homme aux yeux démoniaques en face de moi.
Je frémis de tout mon corps. Un miaulement au loin.
De toutes mes forces je m’élance. Mais c’est trop tard.
Un dernier cri de douleur. Et l’immonde créature écartêle et plonge son ignoble gueule dans la chair encore fraîche du chaton.
Je vois rouge. La tempête se lève. Je tremble de colère. Et comme si la fureur du monde entier me possedait, je fonds sur le monstre et l’égorge, l’écorche,le démembre, le déchire, lui arrachant un à un des lambeaux de chair dans une violence terrible dont je ne me serai jamais crue capable.
Son sang éclabousse ma robe, son cadavre déchiqueté orne mes semelles, ses organes écrasés gîsent sur le sol, tandis que les premieres fourmies prennent possession de la charogne.
Je ne suis pas rentrée chez moi cette nuit là. Je ne suis d'ailleurs plus jamais rentrée.
Ma haine est immense. Il me regarde avec malice, cet être machiavelique. Il m'a vampirisé.
Et c'est une nouvelle vie qui s'offre à moi, dotée de perspectives... effrayantes... Puissance, agilité, endurance, vitalité, pouvoir...
Je suis devenu un cauchemard.
Ma haine est immense.
Et c’est le début de mon entrée dans la guerre.
jelrejoins le vampire dans son combat contre le loup garou, cette espece ignoble qui ne mérite pas de vivre.
Je jure d'ôter la vie à tous ceux qui croiseront mon chemin. Et s'ils ne vienne pas à moi, c'est moi qui viendrait les chercher.
Ma haine est immense.
Je n'aurai de repos qu'une fois l'espèce éteinte.
Mr Trandafir, un vieil homme aigris et seul qui habitait juste à la liziere de la fôret, racontait a qui voulait bien l'entendre qu'il avait depuis sa fenêtre assisté a la scène, qu'elle avait été des plus terrifiantes lorsque la pauvre victime s'était retrouvée face aux crocs de la bête, un immense loup garou de plus de deux mètres de hauteur. Monsieur Trandafir n'avait pu garder les yeux ouverts lorsque le monstre lui avait dévoré la mâchoire.
La police qualifiait les récits du vieil homme de "proportionnel à sa sénilité", mais si tout le monde le prenait pour fou, j'étais une des rares a percevoir une sincère lucidité au fond de son oeil émoustillé d'un plaisir pervers à l'écho de son témoignage.
Le village entier vivait dans la psychose de la peur du loup garou, particulièrement mes parents qui m'expliquèrent lorsque j'eus le courage de poser la question comment mon père s'était fait dévorer la jambe quelques années auparavant par l'un d'eux et comment la Sainte Vierge l'avait sauvé en empêchant la mort du brave homme qui aurait laissé derriere lui une femme epleurée et une fillette sans défense.
Plus tard ma mère sombra dans une folie passagère durant laquelle elle s'enfermait dans la chambre en hurlant qu'elle avait vu la mort, à la liziere du bois, un grand homme vêtu de noir au sourire cruel et aux canines asserées.
Elevée dans ce contexte là je ne pouvais pas être indifférente aux evênements de la Fôret Brune, même si le courage de m’en approcher ne m’avais jamais été donné, je m’y sentais irresistiblement attirée, comme si mon sort y était lié.
Et il faut croire que c’était le cas.
Un beau jour, alors que je nourrissais les poules, mon jeune chaton Basket franchit la barrière et disparu au détour du sentier.
Je courrais à sa poursuite lui criant de revenir, qu’une vie d’aventures n’était pas appropriée pour un petit chat aussi frêle et fragile, mais tel un affreux jeu du sort, il s’élançait droit vers la Fôret Brune, jusqu’à ce qu’il se faufile entre deux arbres, pénétrant en territoire interdit.
Stupéfaite, j’arrêtais ma course. Et le temps d’une minute d’hésitation, le vent se leva, lugubre, comme un signe avant courreur, porteur d’un avertissement…
Les arbres montaient si haut dans le ciel qu’ils ne laissaient passer aucune lumière, me plongeant dans l’obscurité totale à me frayer un chemin entre les banches.
Etrange forêt inquiètante où l’on entend pas l’écho de ses propres pas. Etrange forêt inquiètante où tout n’est que ténèbres et silence.
Au détour d’un arbre, un étrange tableau. Un puissant jet de lumiere vient éclairer un homme, dos à moi. De noir vêtu, à la silhouette imposante, il respire le mal et inspire la peur. De ses yeux bleus perçants, tel un fauve surnois, il me sourit sadiquement.
Je ne bouge pas lorsqu’il m’entoure, ne me débat pas lorsqu’il me prend, n’hurle pas lorsqu’il me plante ses canines dans le cou.
Aujourd’hui j’ai rencontré la mort.
Il me terrifie. Et me fascine.
Je ne serai pourtant pas sa proie d’un soir. Car le vampire Alvarioue a d’autres ambitions pour moi…
Une énorme morsure dans ma chair. Et c’est mon corps qui change. Les couleurs ne sont plus les mêmes, la luminosité devient plus intense, les bruits changent, et c’est commesi l’air me caressait la peau.
Faim, j’ai très faim. Une irrésistible envie de mordre le cou de l’homme aux yeux démoniaques en face de moi.
Je frémis de tout mon corps. Un miaulement au loin.
De toutes mes forces je m’élance. Mais c’est trop tard.
Un dernier cri de douleur. Et l’immonde créature écartêle et plonge son ignoble gueule dans la chair encore fraîche du chaton.
Je vois rouge. La tempête se lève. Je tremble de colère. Et comme si la fureur du monde entier me possedait, je fonds sur le monstre et l’égorge, l’écorche,le démembre, le déchire, lui arrachant un à un des lambeaux de chair dans une violence terrible dont je ne me serai jamais crue capable.
Son sang éclabousse ma robe, son cadavre déchiqueté orne mes semelles, ses organes écrasés gîsent sur le sol, tandis que les premieres fourmies prennent possession de la charogne.
Je ne suis pas rentrée chez moi cette nuit là. Je ne suis d'ailleurs plus jamais rentrée.
Ma haine est immense. Il me regarde avec malice, cet être machiavelique. Il m'a vampirisé.
Et c'est une nouvelle vie qui s'offre à moi, dotée de perspectives... effrayantes... Puissance, agilité, endurance, vitalité, pouvoir...
Je suis devenu un cauchemard.
Ma haine est immense.
Et c’est le début de mon entrée dans la guerre.
jelrejoins le vampire dans son combat contre le loup garou, cette espece ignoble qui ne mérite pas de vivre.
Je jure d'ôter la vie à tous ceux qui croiseront mon chemin. Et s'ils ne vienne pas à moi, c'est moi qui viendrait les chercher.
Ma haine est immense.
Je n'aurai de repos qu'une fois l'espèce éteinte.
Statistiques
| Butin total: | 55.465,58 Litre de sang |
| Victime mordue (via lien): | 21 |
| Combats: | 232 |
| Victoires: | 26 |
| Défaites: | 206 |
| Ex-aequo: | 0 |
| Or gagné: | ~ 1.000,00  |
| Or perdu: | ~ 7.000,00 |
| Points d’adresse remportés: | 5220.74 |
| Points d’adresse cédés: | 40389.67 |
Le niveau de compétence de NissiaDeLaNoire:
| Niveau du personnage: | Etape 19 |
| Force: |    (38) |
| Défense: | (37) |
| Initiative: | (32) |
| Endurance: | (34) |
| Dextérité: | (35) |
| Expérience: |   (1743|1805) |
Statistiques du Temple des Anciens NissiaDeLaNoire
| Défis lancés: | 0 |
| Défis remportés: | 0 |
| Défis perdus: | 0 |
gardien de NissiaDeLaNoire
| Type de gardien: | Chien |
| Nom du gardien: | Chien |
| Attaque: | (1) |
| Défense: | (1) |
| Endurance: | (1) |
Données du profil
| Sexe: | femme |
| Age: | 15-20 Année |
| Lieu: | Le SUD |
| N° ICQ: | --- |
| MSN Messenger: | --- |
| Yahoo Messenger: | --- |
| Nom AIM: | --- |
| Jabber ID | --- |
| Skype ID | --- |
Arena
NissiaDeLaNoire n’as pas encore atteint un rang d’arène spécial.
NissiaDeLaNoire a créé 4 Vampires jusqu’à maintenant:
| [O-G] Deesse Nosferatis | Etape 37 | Butin 234546.74 Litre de sang |
| Dawn Adams | Etape 1 | Butin 30.2 Litre de sang |
| absalom | Etape 1 | Butin 0 Litre de sang |
| Vega | Etape 1 | Butin 0 Litre de sang |